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Recherche par auteur : Le Clézio, Jean-Marie Gustave

26 résultats. Page 1 sur 2.

Durée : 1h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 27102
Résumé:Dans cette conversation qui prend parfois des allures de déambulation, plusieurs thèmes sont évoqués : le déplacement, que Le Clézio préfère à la fuite, l'enfance et ses rêves, l'alchimie et les lieux de l'écriture, la magie de l'aviation, des avions à hélices, du ciel, enfin visité.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 8h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36214
Résumé:Voici donc des histoires croisées, celle de Jérémie, en quête de Raphus cucullatus, alias l'oiseau de nausée, le dodo mauricien jadis exterminé par les humains, et celle de Dominique, alias Dodo, l'admirable hobo, né pour faire rire. Leur lieu commun est Alma, l'ancien domaine des Felsen sur l'île Maurice, que les temps modernes ont changée en Maya, la terre des illusions : «Dans le jardin de la Maison Blanche le soleil d'hiver passe sur mon visage, bientôt le soleil va s'éteindre, chaque soir le ciel devient jaune d'or. Je suis dans mon île, ce n'est pas l'île des méchants, les Armando, Robinet de Bosses, Escalier, ce n'est pas l'île de Missié Kestrel ou Missié Zan, Missié Hanson, Monique ou Véronique, c'est Alma, mon Alma, Alma des champs et des ruisseaux, des mares et des bois noirs, Alma dans mon cœur, Alma dans mon ventre. Tout le monde peut mourir, pikni, mais pas toi, Artémisia, pas toi. ..."
Durée : 5h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16096
Résumé:" "Ballaciner" signifie adresser une ballade au cinéma... Pour moi le cinéma a d'abord été un contact avec le monde extérieur. Je suis né pendant la guerre, j'étais enfant dans une période de rationnements et d'enfermement. Grâce au cinéma... les projections que nous faisions sur un écran improvisé dans le corridor de l'appartement de ma grand-mère à Nice ..., j'ai découvert ce que c'était que la rue, les villes, la guerre, les incendies, l'avion et les sous-marins, et aussi les moments de peur ou de drôlerie, les comportements mystérieux et assez comiques des adultes. Par la suite, j'ai découvert ce que c'était que l'art et la culture. Les livres ne me proposaient pas les mêmes avantages (hormis les encyclopédies). Ils possédaient une voix intérieure et c'était le pouvoir des mots qui opérait, non le réel. " J.M.G. Le Clézio.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36934
Résumé:Parce que le conte peut faire reculer la mort, Bitna, étudiante coréenne sans un sou, invente des histoires pour Salomé, immobilisée par une maladie incurable. La première lutte contre la pauvreté, la seconde contre la douleur. Ensemble, elles se sauvent dans des récits quotidiens ou fabuleux, et bientôt la frontière entre réalité et imaginaire disparaît. Un roman qui souffle ses légendes urbaines sur la rivière Han, les boulevards saturés et les ruelles louches. Sous le ciel de Séoul se lève « le vent de l’envie des fleurs »...
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 9905
Résumé:Présentation de l'éditeur : Daniel ne parle presque pas et n'a pas d'amis. On dirait qu'il dort les yeux ouverts. Il a l'air de venir d'ailleurs. Il aurait pu s'appeler Sindbad le Marin, dont il a lu les aventures, le seul livre qu'il connaisse par coeur : son regard ne s'anime que lorsqu'on lui parle de mer et de voyages. Mais la mer, il ne l'a jamais vue. Alors, un jour de novembre, sans rien dire à personne, il s'en va pour ne plus jamais revenir...
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 4h. 7min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 67845
Résumé:À travers ces «chansons» , J.M.G. Le Clézio propose un voyage dans la Bretagne de son enfance, qui se prolonge jusque dans l'arrière-pays niçois. Sans aucune nostalgie, il rend compte de la magie ancienne dont il fut le témoin, en dépit des fracas de la guerre toute proche, par les mots empruntés à la langue bretonne et les motifs d'une nature magnifique. Le texte est bercé par une douceur pastorale qui fait vibrer les images des moissons en été, la chaleur des fêtes au petit village de Sainte-Marine ou la beauté d 'un champ de blé face à l'océan.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 3h. 51min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17152
Résumé:En sept courts récits, Le Clézio brosse le portrait d'une galerie de personnages d'ici et d'ailleurs, de la grande ville moderne ou du désert. Avec Pervenche, Eva, Kalima, Samaweyn, il est question de la mort et de la peur de la solitude, des doux rêves de l'enfance, de l'amour de la liberté et des désillusions de la vie adulte, du désir...
Lu par : Marcel Pahud
Durée : 10h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 1551
Résumé:Avec Désert - prix Renaudot en 1980 - Le Clézio, écrivain discret, presque secret, accède à une reconnaissance enthousiaste du public. Depuis, sa notoriété ne s'est pas démentie au fil d'une production pourtant singulière, tant par la forme qui rompt avec le formalisme du roman que par les thèmes toujours en marge d'un monde qui avance irrémédiablement. Nourris au sein de la nature vierge, de la mer ou des déserts, les personnages de Le Clézio, abreuvés de légendes intimes ou porteurs de l'histoire des peuples, errent inlassablement sur les chemins du retour. La certitude de l'appartenance, le souvenir des paysages perdus, constituent les forces vitales que ne peuvent ébranler la vulgarité des hommes ou l'emprise de la ville. Telle Lalla, arrivée dans les quartiers sordides de Marseille comme un navire échoué, mais avec la lumière du désert dans les yeux et le sang des guerriers du Rio de Oro dans les veines. Alors, si la force de l'identité rend tout exil cruel, elle tient aussi lieu d'espoir...
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 10h. 26min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 16618
Résumé:Pendant l'été 1943, dans un petit village de l'arrière-pays niçois transformé en ghetto par les occupants italiens, Esther découvre ce que peut signifier être juif en temps de guerre : adolescente jusqu'alors sereine, elle va connaître la peur, l'humiliation, la fuite à travers les montagnes, la mort de son père. Une fois la guerre terminée, Esther décide avec sa mère de rejoindre le jeune État d'Israël. Au cours du voyage, sur un bateau surpeuplé, secoué par les tempêtes, harcelé par les autorités, elle découvrira la force de la prière et de la religion. Mais la Terre promise ne lui apportera pas la paix. C'est en arrivant qu'elle fait la rencontre, fugitive et brûlante comme un rêve, de Nejma, qui quitte son pays avec les colonnes de Palestiniens en direction des camps de réfugiés. Esther et Nejma, la Juive et la Palestinienne, ne se rencontreront plus. Elles n'auront échangé qu'un regard et leurs noms. Mais, dans leurs exils respectifs, elles ne cesseront plus de penser l'une à l'autre...
Lu par : Denise Spendeler
Durée : 2h. 35min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 22556
Résumé:De ce voyage vers la Saguia el Hamra, nous avions parlé depuis la première fois que nous nous sommes rencontrés. Les circonstances, nos occupations, nos préoccupations familiales, ainsi que la situation troublée dans laquelle se trouvait une grande partie du territoire des nomades Aroussiyine avaient rendu ce retour improbable, voire impossible. Et voici que d'un coup, alors que nous n'y songions plus, le voyage devint possible. Il était venu à nous quand nous ne l'espérions plus. Nous pouvions en parler d'une façon simple, comme s'il s'agissait de visiter une province lointaine. Entendre parler les Aroussiyine, les approcher, les toucher. De quoi vivaient-ils ? Avaient-ils toujours des troupeaux de chameaux et de chèvres, élevaient-ils toujours des autruches ? Combien étaient-ils ? Avaient-ils changé au cours des siècles, depuis que Sidi Ahmed el Aroussi avait fondé la tribu ? Nous voulions entendre résonner les noms que la mère de Jemia lui avait appris, comme une légende ancienne, et qui prenaient maintenant un sens différent, un sens vivant : les femmes bleues ; l'assemblée du vendredi ; les Chorfa, descendants du Prophète ; les Aït Jmal, le Peuple du Chameau ; les Ahel Mouzna, les Gens des nuages, à la poursuite de la pluie. Nous sommes partis sans réfléchir, sans savoir où nous allions, sans même être sûrs que nous y arriverions.
Durée : 8h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13528
Résumé:Nassima quitte sa mère, et, déguisée en garçon, s'embarque en cachette à bord du Azzar. D'instinct, cette petite métisse effarouchée et perdue apprivoise les deux occupants du bateau, des hommes rudes et silencieux. Bravito, jeune Indien, élevé à Panamá par un pasteur noir américain, retrouve son village natal au bord du fleuve. Là, il réapprend les gestes et les coutumes de ses ancêtres. Pourchassé par les contrebandiers et les policiers véreux, il se cache dans la forêt, où il vit comme un animal sauvage. Les deux courts romans (ou longues nouvelles), Hasard et Angoli Mala, sont écrits à quinze ans d'intervalle. Ils évoquent pourtant le même apprentissage, celui de l'amour, de la nature, du mal aussi. Lequel est le miroir de l'autre ?
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 9h. 33min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 18475
Résumé:"Jusqu'où irons-nous ? Jusqu'à quand serons-nous vivants ? Quelles raisons donnerons-nous à notre histoire ? Parce qu'il faudra bien un jour trouver une raison, donner une raison, nous ne pourrons pas accréditer notre innocence. Où que nous soyons, quelle que soit notre destination finale (si une telle chose existe), il nous faudra rendre compte, rendre des comptes. J'ai été, j'ai fait, j'ai possédé. Et un jour je ne serai plus rien. Pareil à ce wagon lancé à une vitesse inimaginable, incalculable, sans doute voisine de l'absolu, entre deux mondes, entre deux états. Et pas question qu'aucun d'entre nous retourne jamais à ses états, je veux dire à son passé, à ce qu'il, à ce qu'elle a aimé. Pour cela les visages sont figés, immobiles, parfois terreux, on dirait des masques de carton bouilli ou de vieux cuir, avec deux fentes par où bouge le regard, une étoile de vie accrochée au noir des prunelles."
Durée : 1h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 75747
Résumé:JMG Le Clézio ouvre ici sa boîte noire, qui révèle ce qui l’a éveillé à l’écriture. D’abord l’image des murailles sur la Méditerranée, qu’avaient élevées les Allemands à Nice pour empêcher la population civile d’accéder à la mer. Pendant la guerre, la faim et la maladie étaient partout. De là est née une sensibilité singulière pour capturer tout ce qui se passe. Puis son premier roman, écrit à dix ans, qui imaginait l’histoire d’un enfant africain quittant l’Europe… C’était l’époque où il rejoignait le Nigéria, où vivait son père médecin. Un père qu’il n’avait jamais connu à cause de la guerre. Un père qui lui ferait découvrir un continent et un destin nouveaux. En vivant avec des enfants africains, en faisant l’expérience d’une nature si différente, si riche et si fragile, il a forgé son goût de la liberté. Sa liberté, c’est de pouvoir écrire. De ses ancêtres bretons échoués sur l’île Maurice, de sa famille mauricienne, (l’île appartient à l’Union africaine), de son père britannique (Maurice étant alors une colonie), de sa seconde enfance nigériane, JMG Le Clézio conclut qu’il a une « identité nomade ». Toute son œuvre vit de son rapport au monde si singulier. De son attention à l’autre, au déshérité, à l’indésirable. De sa volonté que l’écriture devienne action. L’utilité de la littérature semble utopique face aux désastres du monde. Dans ces pages, il essaye d’y répondre avec sa franchise, sa culture, sa vision.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 2h. 54min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16088
Résumé:1948. La France est encore en ruine. On compte les morts, on juge les collabos. C'est la paix, c'est toujours la guerre. Jean-Marie a 8 ans lorsque, avec son frère et sa mère, il tourne le dos à la vieille Europe et à la ville de Nice pour monter à bord d'un cargo mixte de la Holland Africa Line à destination de Port-Harcourt. Il va rejoindre son père, qui est médecin de brousse et qu'il n'a jamais vu. Après avoir tenté en vain, pendant l'Occupation, de revenir sur la Côte d'Azur pour voir les siens et les emmener en Afrique, cet officier de santé de l'armée britannique était resté, seul, au Nigeria pendant tout le conflit.
Durée : 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 76158
Résumé:Ali est SDF. Il fait de son mieux pour gagner sa vie en récupérant dans les poubelles tout ce qui peut être revendu. Un jour quelque chose vient bouleverser sa vie : alors qu’il rentre se coucher sous le pont où il habite avec son chat Cendrillon, il trouve, dans un carton déposé sur son lit de fortune, un bébé. « C’est elle, c’est l’enfant de sous le pont », se dit-il. Charmé par la délicatesse et la fragilité de la petite fille, il décide d’en prendre soin. Il lui donne le joli prénom d’Amina. Mais comment s’occuper d’un bébé si fragile lorsque l’on n’a même pas de toit. Ali commence par habiller l’enfant avec les habits d’une poupée et lui fabrique un biberon à l’aide d’une bouteille en plastique et d’un bout de chiffon en guise de tétine. Amina tête patiemment et s’endort. Pour pouvoir nourrir l’enfant, Ali passe un marché avec le boucher du coin qui lui fournit chaque jour un litre de lait de chèvre en échange de paires de chaussures en bon état récupérées dans les poubelles. Pour s’occuper d’Amina, Ali fait beaucoup de sacrifices : il a arrêté de boire du vin, il mange peu et il a moins de temps pour travailler. Mais la fillette grandit de jour en jour et lui apporte un bonheur qu’il avait perdu depuis si longtemps. Mais au retour de l’hiver, protéger l’enfant des rôdeurs et la nourrir devient de plus en plus compliqué.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 16545
Résumé:La Ronde et autres faits divers est un recueil de onze nouvelles de Jean-Marie Gustave Le Clézio, d'une banalité apparente. Les thèmes qui en ressortent sont la tristesse, le bouleversement, l'horreur, l'injustice, la mélancolie. Le Clézio dans ce livre est très proche des personnages...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 69441
Résumé:Dans cet ouvrage très personnel, écrit en hommage aux poètes chinois de l’époque Tang (618-907) – parmi lesquels Li Bai, Du Fu, Wang Wei, Bai Juyi… –, J.M.G. Le Clézio fait revivre ces figures d’une époque troublée, qui aimaient le vin, les femmes, les errances, la nature, le passage des saisons, qui partageaient les souffrances du peuple face à la pauvreté ou à la violence des guerres… Poètes pour lesquels l’homme ne doit pas dominer mais plutôt échanger avec les autres règnes, les animaux, les plantes, l’eau, la terre, les pierres, les nuages, la brume, les astres… Incursion dans une civilisation qui a ouvert la Chine à la modernité, ce livre singulier et passionnant nous conduit dans la création et l’intimité de ces femmes et de ces hommes qui nous touchent encore aujourd’hui par leur art de vivre, leur élégance et leur intransigeante vérité.
Lu par : Roger Messié
Durée : 9h. 4min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23353
Résumé:Dans ces nouvelles, Le Clézio nous offre un morceau de la vie de Mondo, Lullaby, Daniel et Gaspar, des enfants qui regardent le monde autrement et vivent en harmonie avec le soleil et la mer. Quatre histoires sur l'émerveillement, la liberté et la plénitude de l'instant présent.
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 7h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19086
Résumé:Fintan Allen a douze ans lorsque, le 14 mars 1948, il embarque pour l'Afrique avec sa mère, Maou. Geoffroy Allen, qui avait laissé en France sa femme et son fils, leur a enfin demandé de venir le rejoindre à Onitsha, petit port fluvial, où il travaille pour la United Africa. Fintan ne connaît ni son père ni l'Afrique. Maou, elle, rêve d'une Afrique idyllique où elle pourra vivre près de l'homme qu'elle aime, à l'abri des préjugés familiaux qui condamnaient en lui le rêveur sans le sou, et anglais de surcroît. C'est une Afrique bien différente qu'elle va découvrir, dévorante, insaisissable. Et un conformisme plus oppressant encore : celui du milieu colonial, fait de haines, de mesquineries, d'échecs inavouables. « L'Afrique brûle comme un secret, comme une fièvre. Geoffroy Allen ne peut pas détacher son regard, un seul instant, il ne peut pas rêver d'autres rêves. » Ce livre est pareil à l'Afrique. S'il s'en dégage malgré sa violence un tel sentiment de sérénité, c'est que, chez Le Clézio, même la fièvre, même la révolte, même la défaite sont les couleurs de la paix.
Durée : 8h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14065
Résumé:Géographe et universitaire, Daniel Sillitoe, le narrateur, débarque au Mexique dans les années 80 dans le but d'effectuer les relevés topographiques des Terres chaudes de la région du Tepalcatepec. Parti à la rencontre de la terre mexicaine, Daniel croise deux tentatives réalisées d'utopies. L'Emporio, tout d'abord, sorte d'université populaire regroupant une communauté de chercheurs en sciences humaines autour de la figure de Don Thomas. Là, il deviendra l'amant de Dahlia, une jeune Portoricaine alcoolique. Parallèlement, la rencontre de Raphaël lui fait découvrir Campos, une communauté en marge, dans laquelle " on n'enseigne que la vie ", où les enfants sont rois et dont la langue est " l'elmen ", sorte de créole aux accents enfantins. Daniel s'inventera encore une autre quête, celle de Lili de la lagune, une prostituée qu'il n'aura de cesse de retrouver aux lisières de l'Emporio, avant d'assister à la disparition des deux utopies collectives.